La confiance peut nous quitter

En cette automne arrosé

Parmi les fleurs fanées,

Et les arbres dénudés ,

Bien triste saison

Le ciel est gris et ombragé ,

Pas le moindre rayon de soleil

Il doit être rangé

Dans son écrin de velours ,

Jusqu'au printemps

Où renaitront les amours,

Ce ciel nous révèle des âmes cachées

Après un long été

Des mots peuvent blessés

Des gens qui ont une sensibilité ,

Mais elles sous souvent ignorées ?

Des cœurs plutôt écœurés ,

Par ce mal être de cette société ,

Qui ne changera jamais ,

L'automne n'est pas une période rêvée ,

C'est plutôt une période échouée ,

Par tous ces braconniers ,

Qui ne cessent de tuer

Pour moi c'est une infernale pensées

Car je n'aime pas les mal qui font aux animaux

ils sont vraiment en danger ,

C'est un massacres redoutés ,

Mais qui est voté ...........

PHOTOS DE JORGE BANHA

Relève la tête

Oh! c'est facile à dire

Mais c'est un peu compromis ,

Il faut oublier tes soucis ,

Car tout est écrit,

Mais loi du paradis ,

Faut -il trouver ce chemin

Et aussi le mériter

Car toute te faute sera punie ,

Je ne crois pas à al baguette magique

Car les faits sont accomplis ,

Maintenant ce n'est pas moi qui décide ,

Ce n'est pas vraiment un plaisir

Car vivre de cette façon il faut en finir ,

Assez vite,

Je n'ai pas d'œillère sur les yeux

Ce qui me rend malheureux ,

En mettant undoute

Parfois et même souvent je redoute ,

Devant ces gestes incompréhensibles

Ce n'est pas tout à fait unplaisir

Je suis une âme sensible

Et qui est souvent fragile

Mais en agissant de suite ,

Nous pouvons réparer ces bêtises ,

Pas en restant immobile

Il faut agir assez vite ................

PHOTOS DE JORGE BANHA

Les souvenirs reviennent

Pour hanter aujourd'hui ,

La mémoire est fidèle

Aux traces du passé

Le ruisseau se traverse ,

Joli gué à pieds joints

Les lettres entrelacées

Sur le vieil arbre dorment ,

Nos étés sont enfuis,

Et se fanent les roses,

Les souvenirs s'effeuillent

Les lauriers sont coupés

Aux replis des oiseaux

Se retire la mer

Mes pas quittent le sable

Lorsque les poissons crient,

Je te cherche ô douleur

Dans le cri du corbeau ,

Je m'égare en chemin

Suis-je absent de moi-même

Ne suis-je que reflet

De l'enfance naguère ,

Passera sur mes jours

Le vide de l'absence

Qui me parle de toi

De mon bonheur perdu ,

Et quand l'heure viendra

Du temps des cimetières

Au plus près de la tombe

Je m'attendrai en vain ...............

PHOTOS DE STÉFAN FEUERHANH

J’étais seul dans la nuit

Assis dans l’ombre

Je pensais à ma vie

Quand je voyais ce regard sombre

La tristesse remplissait ces deux yeux

Qui brillaient dans le noir

J'étais dans le désespoir

Le plus total

Je ne refis jamais ce voyage

Car il me transperçait comme des pieux

D’un rouge aussi vif que le sang

Ces yeux n’étaient pas ceux d’un vivant

Mais ceux d’une âme errante

Qui exprimait des douleurs flagrante

Si dure fut sa vie

Que lorsqu’elle est partie

Elle transforma tous ses soucis

En cette colère de furie

Pourquoi s’est-elle donné la mort ?

Pour échapper a son sors

Pour fuir pendant qu’elle le pouvait encore

Pour pouvoir s’échapper sans remords

Aujourd’hui elle ère dans la nuit

Car il lui reste une chose à terminer

Quelque chose qu’elle n’a pas dit

Elle n’a pas dit a tous ses amis qu’elle les aimait

Elle n’y avait peut être pas songer

Mais c’est ce qui l’empêche de s’envoler…

PHOTOS DE STÉFAN HEUERHANH